Nousautres socialistes, nous sommes plus libres parce que nous sommes plus complets. Nous sommes plus complets parce que nous sommes plus libres. Le squelette de notre pleine libertĂ© est prĂȘt. Il ne lui manque plus que la chair et les vĂȘtements. Nous les crĂ©erons. Le Socialisme et l'Homme Ă  Cuba - 12 mars 1965 - Citationde Paul ValĂ©ry. “ Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. ”. 8 Vers une civilisation planĂ©taire. Nous savons dĂ©sormais que les civilisations naissent, croissent, vieillissent, et meurent. Et comme le disait fort justement ValĂ©ry, «Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». C’est une rĂ©alitĂ© qui semble inĂ©luctable. Cependant, en ce dĂ©but de XXIĂšmesiĂšcle phĂ©nomĂšnenouveau depuis deux ou trois siĂšcles. Quand ValĂ©ry Ă©crit « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles », cest Ă  leuropĂ©enne quil pense. Il pense que la civilisation europĂ©enne occupe une situation privilĂ©giĂ©e, qui ne va pas durer, et entretient un rapport inĂ©gal aux Ouvrage Vous autres, civilisations, savez maintenant que vous ĂȘtes mortelles. De la contre-utopie; Pages: 203 Ă  204; Collection: Études de littĂ©rature des xx e et xxi e siĂšcles, n° 96; Autres informations ⼟ ISBN: 6-9; ISSN: 2260-7498; DOI: 10.15122/isbn.978-2-406-10756-9.p.0203; Éditeur: Classiques Garnier; Mise en ligne QCMde culture gĂ©nĂ©rale, qcm :CULTURE GÉNÉRALE - HISTOIRE, GÉOGRAPHIE, ART, LITTÉRATURE (concours PASS - 2008), question : Parmi les auteurs suivants, qui constate en 1919 : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles » ? Citationde Paul ValĂ©ry - Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. Accueil; Auteurs; ThĂšmes ; Citation de Paul ValĂ©ry “Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.” ― Paul ValĂ©ry. Facebook. Twitter. WhatsApp. Image. Citation en image: tumblr. Pinterest. Autres citations de Paul ValĂ©ry “La guerre, un dhDXkMO. CHRISTELLE ENAULT SĂ©ries d'Ă©tĂ© Les religions ne meurent jamais vraiment PubliĂ© le 22 aoĂ»t 2021 Ă  01h54 - Mis Ă  jour le 24 aoĂ»t 2021 Ă  15h41 RĂ©servĂ© Ă  nos abonnĂ©s RĂ©cit Les religions ne meurent jamais vraiment » 1/6. A l’instar des civilisations, l’histoire regorge d’exemples de cultes autrefois tout puissants puis rĂ©duits Ă  nĂ©ant. Mais le phĂ©nomĂšne religieux semble, lui, toujours bien vivant. Egypte, Egypte, il ne restera de tes pratiques religieuses que des histoires et, pour tes descendants, elles seront sans crĂ©dibilitĂ©. » Cette prophĂ©tie consignĂ©e dans l’AsclĂ©pius latin – un manuscrit rĂ©digĂ© aux alentours du IVe siĂšcle, Ă  l’époque oĂč l’Egypte se trouvait sous la domination de Rome – annonce en rĂ©alitĂ©, avec une implacable luciditĂ©, le devenir tragique de la plupart des religions. Alors qu’elles se prĂ©sentent comme dĂ©positaires de l’éternitĂ© des mondes, elles ne sont pourtant pas Ă©ternelles. Paul ValĂ©ry l’écrivait au sortir de la premiĂšre guerre mondiale Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. Nous sentons qu’une civilisation a la mĂȘme fragilitĂ© qu’une vie. » Telle est la leçon de l’histoire mĂȘme les empires les plus puissants – celui des Perses, celui des Romains – n’ont su rĂ©sister aux assauts ou Ă  l’usure du temps. Lire le reportage En Iran, sur les traces de l’Empire perse Ce constat peut bien sĂ»r s’appliquer aux religions. A ce titre, exhumer la mĂ©moire des croyances tombĂ©es dans les oubliettes de l’humanitĂ© rĂ©sonne comme une invitation Ă  questionner nos propres certitudes. A l’époque de Babylone la superbe, joyau du dieu Mardouk, qui aurait devinĂ© que cette merveille du monde deviendrait la grande prostituĂ©e » de l’Apocalypse de Jean ? Et, Ă  l’époque oĂč le paganisme Ă©tait la religion officielle d’un Empire romain triomphant, qui aurait pariĂ© sur son interdiction prochaine, au profit du christianisme jadis assimilĂ© Ă  une subversive superstition ? Lire aussi Paul Veyne Constantin, l'inventeur de la chrĂ©tientĂ© De fait, chaque croyant pense que sa religion ne va jamais mourir, qu’elle va durer pour toujours, que ce sont les religions des autres qui vont disparaĂźtre », relĂšve l’historienne Anne Morelli, qui a codirigĂ©, avec Jeffrey Tyssens, un ouvrage sur ce thĂšme Quand une religion se termine
 Facteurs politiques et sociaux de la disparition des religions, EME Editions, 312 pages, 31 euros. Or, poursuit la professeure honoraire Ă  l’UniversitĂ© libre de Bruxelles, la religion est un phĂ©nomĂšne vivant. A ce titre, elle a naturellement une naissance, une phase d’épanouissement et une fin. Lorsque le dĂ©clin se manifeste, des mĂ©canismes communs sont gĂ©nĂ©ralement Ă  l’Ɠuvre ». DiscrĂšte rĂ©sistance Parmi eux, le politique joue un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant. Il est bien Ă©vident que lorsqu’il dĂ©cide de faire du christianisme sa religion personnelle, en 312, l’empereur Constantin change drastiquement le cours de l’histoire. Un des principes pouvant expliquer la disparition d’une religion, processus complexe et multifactoriel, rĂ©side dans l’installation d’un nouveau mouvement qui tient progressivement lieu de pĂŽle religieux de rĂ©fĂ©rence », analyse Vincent Mahieu, docteur en histoire des religions, dans le mĂȘme livre. Les hommes se convertissent, les bĂątiments Ă©galement. C’est ainsi que le PanthĂ©on de Rome, dĂ©diĂ© autrefois Ă  toutes les divinitĂ©s paĂŻennes, devient chrĂ©tien. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Ambroise Paul Toussaint Jules ValĂ©ry est un Ă©crivain, poĂšte, philosophe et Ă©pistĂ©mologue français, nĂ© Ă  SĂšte HĂ©rault le 30 octobre 1871 et mort Ă  Paris le 20 juillet 1945. NĂ© d’un pĂšre d’origine corse et d’une mĂšre gĂ©noise, Paul ValĂ©ry entame ses Ă©tudes Ă  SĂšte alors orthographiĂ©e Cette chez les dominicains, puis au collĂšge de SĂšte et enfin au lycĂ©e de Montpellier. Il commence en 1889 des Ă©tudes de droit. Cette mĂȘme annĂ©e, il publie ses premiers vers dans la Revue maritime de Marseille. Sa poĂ©sie de cette Ă©poque s’inscrit dans la mouvance symboliste. Dans la nuit du 4 au 5 octobre 1892, il connaĂźt Ă  GĂȘnes ce qu’il dĂ©crit comme une grave crise existentielle. Il sort rĂ©solu Ă  rĂ©pudier les idoles de la littĂ©rature, de l’amour, de l’imprĂ©cision, pour consacrer l’essentiel de son existence Ă  ce qu’il nomme la vie de l’esprit. En tĂ©moignent les Cahiers dans lesquels il s’astreint Ă  noter toutes ses rĂ©flexions au petit matin. AprĂšs quoi, ajoute-t-il en maniĂšre de boutade, ayant consacrĂ© ces heures Ă  la vie de l’esprit, je me sens le droit d’ĂȘtre bĂȘte le reste de la journĂ©e. La poĂ©sie est-elle exclue pour autant de sa vie ? Non, car justement, selon ValĂ©ry, tout poĂšme n’ayant pas la prĂ©cision exacte de la prose ne vaut rien ». Tout au plus a-t-il vis-Ă -vis d’elle la mĂȘme distance que Malherbe affirmant sĂ©rieusement qu’un bon poĂšte n’est pas plus utile Ă  l’État qu’un bon joueur de quilles. Quoi qu’il en soit, Paul ValĂ©ry indique Ă  plusieurs reprises qu’il considĂšre cette nuit passĂ©e Ă  GĂȘnes comme sa vĂ©ritable origine, le dĂ©but de sa vie mentale. En 1894, il s’installe Ă  Paris, oĂč il commence Ă  travailler comme rĂ©dacteur au ministĂšre de la Guerre, et oĂč il se lie avec Paul LĂ©autaud. Il reste distant de l’écriture poĂ©tique pour se consacrer Ă  la connaissance de soi et du monde. Depuis 1900 jusqu’en 1922, secrĂ©taire particulier d’Édouard Lebey, administrateur de l’agence Havas, il s’affaire chaque matin aux petites heures Ă  la rĂ©daction de ses Cahiers, journal intellectuel et psychologique dont l’essentiel n’est publiĂ© qu’aprĂšs sa mort. En 1900, il Ă©pouse Jeannie Gobillard, une cousine germaine de Julie Manet elle mĂȘme fille de Berthe Morisot et d’EugĂšne Manet, le frĂšre d’Edouard Manet qui Ă©pouse le mĂȘme jour Ernest Rouart. Le double mariage est cĂ©lĂ©brĂ© en l’église Saint-HonorĂ© d’Eylau, dans le quartier de Passy Ă  Paris. Le couple ValĂ©ry est logĂ© dans l’immeuble construit par les parents de Julie, dans la rue de Villejust aujourd’hui, rue Paul-ValĂ©ry dont a hĂ©ritĂ© la jeune Julie alors qu’elle n’avait pas dix-huit ans 1895. Le couple ValĂ©ry-Gobillard aura trois enfants et demeurera liĂ© au couple Rouart-Manet qui aura trois fils, Ă  tel point que les deux familles partageront aussi leurs vacances dans la propriĂ©tĂ© Le Mesnil », achetĂ©e par Berthe Morisot et EugĂšne Manet sur les bords de Seine, en aval de Meulan, peu avant la mort d’EugĂšne 1893. Julie, unique hĂ©ritiĂšre aprĂšs le dĂ©cĂšs de Berthe en 1895, laissera les portes du Mesnil ouvertes au couple ValĂ©ry-Gobillard jusqu’à ce que la mort les sĂ©pare. Paul ValĂ©ry suit les mardis de StĂ©phane MallarmĂ©, Rue de Rome », sĂ©minaire qui a lieu au domicile du poĂšte dont il restera l’un des plus fidĂšles disciples. En 1917, sous l’influence de Gide notamment, il revient Ă  la poĂ©sie avec La Jeune Parque, publiĂ©e chez Gallimard. Il brise un long silence’ avec ce poĂšme de 500 vers auquel il a consacrĂ© quelque quatre annĂ©es. Initialement, il devait Ă©crire – Ă  la demande de son Ă©diteur Gallimard et de son ami AndrĂ© Gide – une prĂ©face poĂ©tique d’une trentaine de lignes pour accompagner une réédition de ses premiers poĂšmes. Mais il fut dĂ©passĂ© par le projet initial et Ă©crivit alors ce que d’aucun considĂšre comme son chef d’Ɠuvre le monologue intĂ©rieur d’une jeune femme en proie Ă  un combat entre le corps et l’esprit, Ă©crit dans un formalisme digne de son maĂźtre MallarmĂ©. Un autre grand poĂšme suit quelques annĂ©es plus tard Le CimetiĂšre marin » 1920, puis un recueil, Charmes » 1922. Toujours influencĂ© par StĂ©phane MallarmĂ©, Paul ValĂ©ry privilĂ©gia toujours dans sa poĂ©sie la maĂźtrise formelle sur le sens et l’inspiration Mes vers ont le sens qu’on leur prĂȘte ». AprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale, Paul ValĂ©ry devient une sorte de poĂšte officiel », immensĂ©ment cĂ©lĂšbre — peu dupe, il s’en amuse — et comblĂ© d’honneurs. En 1924, il devient prĂ©sident du Pen Club français, puis il est Ă©lu membre de l’AcadĂ©mie française l’annĂ©e suivante. Dans le discours de rĂ©ception qu’il prononce le 23 juin 1927, Paul ValĂ©ry fait l’éloge d’Anatole France, son prĂ©dĂ©cesseur, sans prononcer son nom une seule fois. En 1932, il entre au conseil des musĂ©es nationaux ; en 1933, il est nommĂ© administrateur du Centre universitaire mĂ©diterranĂ©en de Nice ; en 1936, il est nommĂ© prĂ©sident de la Commission de synthĂšse de la coopĂ©ration culturelle pour l’exposition universelle ; en 1937, on crĂ©e pour lui la chaire de poĂ©tique au CollĂšge de France ; en 1939, enfin, il devient prĂ©sident d’honneur de la SACEM. Son Ɠuvre vĂ©ritable, pendant ce temps, continue toujours dans l’ombre. La profondeur des rĂ©flexions qu’il a Ă©mises dans des ouvrages exigeants Introduction Ă  la mĂ©thode de LĂ©onard de Vinci, La soirĂ©e avec monsieur Teste, ses rĂ©flexions sur le devenir de la civilisation Regards sur le monde actuel et sa vive curiositĂ© intellectuelle en ont fait un interlocuteur de Raymond PoincarĂ©, Louis de Broglie, Henri Bergson et Albert Einstein. Sous l’Occupation, Paul ValĂ©ry, refusant de collaborer, prononce en sa qualitĂ© de secrĂ©taire de l’AcadĂ©mie française l’éloge funĂšbre du juif Henri Bergson ». Cette prise de position lui vaut de perdre ce poste, comme celui d’administrateur du Centre universitaire de Nice Centre universitaire mĂ©diterranĂ©en. Il meurt le 20 juillet 1945, quelques semaines aprĂšs la fin de la Seconde Guerre mondiale. AprĂšs des funĂ©railles nationales Ă  la demande de Charles de Gaulle, il est inhumĂ© Ă  SĂšte, au cimetiĂšre marin qu’il avait cĂ©lĂ©brĂ© dans un poĂšme. Les essais de ValĂ©ry traduisent ses inquiĂ©tudes sur la pĂ©rennitĂ© de la civilisation Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles », l’avenir des droits de l’esprit », le rĂŽle de la littĂ©rature dans la formation, et la rĂ©troaction du progrĂšs sur l’homme. Sa sĂ©rie VariĂ©tĂ© » I, II, III, IV, V se compose d’un autre type d’écrits ceux qui lui ont Ă©tĂ© commandĂ©s et qu’il n’eĂ»t sans doute, de son aveu, jamais Ă©crits de lui-mĂȘme. Ils n’en tĂ©moignent pas moins d’une profondeur d’analyse souvent Ă©blouissante que l’on retrouve aussi dans la sĂ©rie de courts essais sur divers sujets d’actualitĂ© du XXe siĂšcle publiĂ©e sous le titre Regards sur le monde actuel Voir par exemple Notre destin et les lettres ». Sa correspondance avec AndrĂ© Gide a Ă©tĂ© publiĂ©e Ă  la NRF en 2009. On retrouve dans ses Cahiers des passages de Tel quel » ainsi que des indications probablement destinĂ©es Ă  faciliter leur regroupement en un seul ouvrage ou en des ouvrages ultĂ©rieurs Nombres plus subtils, Robinson, etc. Il a aussi publiĂ© L’IdĂ©e fixe ». La portĂ©e philosophique et Ă©pistĂ©mologique de l’Ɠuvre de ValĂ©ry est souvent mĂ©connue, peut-ĂȘtre en raison de la publication tardive de ses cahiers. Pourtant ValĂ©ry est l’un des penseurs Ă©minents du constructivisme. Le rapport que ValĂ©ry entretient avec la philosophie est singulier. Dans ses Cahiers il Ă©crit Je lis mal et avec ennui les philosophes, qui sont trop longs et dont la langue m’est antipathique. ». En effet, s’il s’inspire librement de Descartes en ce qui concerne une certaine mĂ©thode du penser », il est en revanche trĂšs critique sur le discours philosophique lui-mĂȘme. Pour ValĂ©ry, le philosophe est plus un habile sophiste, manieur de concepts, qu’un artisan au service du Savoir comme l’est le scientifique. En revanche, son dĂ©sir de comprendre le monde dans sa gĂ©nĂ©ralitĂ© et jusqu’au processus de la pensĂ©e lui-mĂȘme — caractĂ©ristique du philosophe — oriente fortement son travail. Sujets d'ordre bibliographique regroupĂ©s ici Livre sur la dynastie des Lagides Citer SalmanasarConnaissez-vous un livre qui traite de la dynastie des Lagides ? Citer ClioDELLA MONICA , Madeleine Les derniers pharaons Maisonneuve & Larose vous le conseille le plus prĂ©cis en français Ă  ma connaissance. -Qui et/ou que lire sur l'Egypte ancienne ?Citer Louis-AugusteDĂ©sireux d'Ă©toffer mes biens maigres connaissances sur la civilisation de l'Egypte ancienne, je fais appel Ă  vous pour me donner les "auteurs-rĂ©fĂ©rence", les historiens de la pĂ©riode, reconnus pour leur sĂ©rieux, leur connaissance profonde de cette civilisation, leur finesse d'analyse...etc. Alors, qui faut-il absolument lire sur l'Egypte ? Citer KittenJe ne saurais pas vous donner de rĂ©fĂ©rences prĂ©cises car je ne possĂšde aucun ouvrage relatif Ă  la Civilisation Ă©gyptienne en gĂ©nĂ©ral. Comme d'habitude, mes livres concernent les souveraines, et si jamais vous ĂȘtes amenĂ© Ă  vous y intĂ©resser on ne sait jamais je vous recommande les Ă©tudes suivantes, trĂšs sĂ©rieuses et trĂšs complĂštes, Ă©crites par les plus grands auteurs Nefertari, l'aimĂ©e de Mout de Christian Leblanc biographies trĂšs recherchĂ©es sur les Ă©pouses, filles et fils de RamsĂšs II La reine mystĂ©rieuse de Christiane Desroches-Noblecourt retrace la vie passionnante de la reine-pharaon. III de AgnĂšs Cabrol contient non seulement la biographie de ce pharaon, mais aussi celles de son pĂšre, sa mĂšre, ses frĂšres, ses soeurs, sa Grande Epouse, ses concubines, ses fils, ses filles. et Akhenaton de Christian Leblanc toute l'histoire de ce couple plus que cĂ©lĂšbre. A ne pas ce, si vous ne vous intĂ©ressez pas vraiment aux reines, laissez tomber. Mais il n'en demeure pas moins que ces ouvrages sont tout se qu'il y a de plus complet, et s'appuient sur des recherches historiques et archĂ©ologiques. Aucun rĂ©cit romancĂ©, au contraire, tout est constatations, Ă©tudes et hypothĂšses.[/u] Citer IzarraLes ouvrages de Christiane Desroches-Noblecourt sont en gĂ©nĂ©ral bien faits et complets. Sinon, pour une vue plus gĂ©nĂ©rale, je vous conseille l'histoire de l'Egypte de Nicolas Grimal. Citer SalmanasarEn effet,cher Louis-Auguste,comme izarra,je vous conseillerais "Histoire de l'Égypte ancienne" de Nicolas Grimal,qui couvre tout les pĂ©riodes allant de la prĂ©histoire jusqu'Ă  la conquĂȘte grecque,et qui est aussi trĂšs bien documentĂ© et offre aussi une trĂšs bonne analyse. De plus,en plus de l'histoire proprement dit,ce livre donne des renseignements sur l'Ă©volution de l'art Ă©gyptien sculptures,Ă©critures,architectures,ainsi que les moeurs cultes mortuaires etc,,Ă  travers les Ăąges. Il y a aussi les livres de BĂ©atrix Midant-Reynes,si vous vous intĂ©resser Ă  la prĂ©histoire de l'Égypte. Quoi qu'il en soit, j’ai bien apprĂ©ciĂ© ces deux livres,c'est d'ailleurs pour cela que je les ait achetĂ© . Il y a encore d'autres bon livres que j'ai lu sur l'Égypte ancienne,ainsi que de bonnes biographies sur certains pharaons et reines d'Egypte, mais ces lectures remontant Ă  quelques annĂ©es, je ne me souviens plus des auteurs,et mĂȘme parfois des titres. Citer HamorYoyotte est un bon spĂ©cialiste de l'Egypte ancienne. Sinon il faut retourner aux sources HĂ©rodote et Plutarque semblent s'imposer, aprĂšs il y a tous les autres, ils sont innombrables et mĂȘme s'il y a du romancĂ©, il est important de connaĂźtre la vision qu'avaient les contemporains de cette grande Egypte. Citer Louis-AugusteNicolas Grimal semble faire l'unanimitĂ©. Je commencerai donc par lui. Jean Yoyotte, oui, maintenant que vous me donnez son nom, cela me dit quelque chose. Un ami m'a conseillĂ© les ouvrages de Claire Lalouette. Qu'en pensez-vous ? Citer ClioNicolas Grimal est une excellente rĂ©fĂ©rence mais attention Ă  ne pas ĂȘtre dĂ©couragĂ©, son Histoire de l'Egypte ancienne chez Fayard est un pavĂ©... Personnellement je trouve Desroches-Noblecourt meilleure quand elle parle que quand elle Ă©crit. SacrĂ©e bonne femme quand bouquins de Claire Lalouette chez Champs Flammarion sont trĂšs bien vous commencez, pourquoi ne pas tenter une approche par les oeuvres avec Oeuvres choisies, l'art Ă©gyptien au Louvre de Florence MaruĂ©jol chez Scala le commentaire d'une oeuvre est alors l'occasion d'Ă©tudier diffĂ©rents aspects de la civilisation complĂ©ment un petit tour du cĂŽtĂ© d'HĂ©rodote ou de Strabon n'est pas dĂ©nuĂ© de si vous avez l'occasion de passer par le MusĂ©e du Louvre n'oubliez pas la librairie trĂšs bien achalandĂ©e sur le sujet cĂŽtĂ© textes comme illustrations. Citer KeikozEn effet, comme on l'a dit Nicolas Grimal est Ă  la fois trĂšs complet et savant, mais de taille Ă  dĂ©courager le total nĂ©ophyte... Ca reste une trĂšs bonne rĂ©fĂ©rence, peut-ĂȘtre plus lisible chez Fayard qu'en poche... Je crois que comme source intĂ©ressante il existe un recueil de papyri et textes Ă©gyptiens trĂšs plaisants Ă  la lecture HĂ©rodote Ă©tant une source tout de mĂȘme pĂ©riphĂ©rique..., traduits. Mais je n'en retrouve plus le titre... -Documentation sur peinture et sculpture Ă©gyptiennesCiter GrenouilleJ’aimerais trouver de la documentation sur l'Ă©volution de la peinture et de la sculpture Ă©gyptienne, savez vous ou je pourrais en trouver? Ou alors si quelqu'un sait m'aider, merci. Citer The irishIl existe un livre traitant de ce sujet et que je possĂšde moi mĂȘme, il est trĂšs bien illustrĂ© et les commentaires sont tout Ă  fait intĂ©ressants L'Egypte de Dietrich WILDUNG aux Ă©ditions CITADELLES. Je vous le conseille. -Pharaons des XVIII-XIXĂšmes dynastiesCiter DeckJe fais des recherches concernant les XVIIIe et XIXe dynasties. Pourriez- vous me donner des noms d'ouvrages ou des liens vers sites Internet pour pouvoir pousser mes recherches ?J’ai rĂ©cemment lu un ouvrage sur AkhĂ©naton "AkhĂ©naton" de Gilbert SinouĂ©. En auriez vous d'autres Ă  me proposer ? Ou bien y a t-il dĂ©jĂ  des liens que je n'ai pas vus sur le forum ? Citer ZunkirPour des biographies de souverains et souveraines de la pĂ©riode C. Desroches-noblecourt, La reine mystĂ©rieuse Hatchepsout, J'ai Lu Poche, 2003id., Toutankhamon, Pygmalion, 2004id., Ramses II, LGF, Ramses II, Souverain des souverains, DĂ©couvertes Gallimard, Nefertari, Le Rocher, 1999 cet ouvrage concerne en fait les femmes et les enfants de Ramses II ThĂšbes 1250 av. RamsĂšs II et le RĂȘve du pouvoir absolu, Autrement, Ramses III, Histoire d'un rĂšgne, Pygmalion, 1997 XXĂš Dynastie, mais toujours intĂ©ressantUn ouvrage sur la pĂ©riode qui vous intĂ©resse vient tout juste de sortir, mais je n'ai pas notĂ© la rĂ©fĂ©rence ... Quoiqu'il en soit, vous avez toujours la possibilitĂ© de vous rĂ©fĂ©rer aux ouvrages gĂ©nĂ©raux de et sur l'histoire de l'Egypte Ancienne. Citer DeckConnaissez vous un recueil relatant les principaux Ă©vĂšnements de ces dynasties ? Citer ZunkirIl n'y a pas d'ouvrages traitant spĂ©cifiquement de l'histoire de cette pĂ©riode Ă  part Le monde des Ramses pour la fin du Nouvel Empire. Il faut donc voir du cĂŽtĂ© des ouvrages gĂ©nĂ©raux, comme Histoire de l'Egypte ancienne existe en format poche ; ou bien De l'Afrique Ă  l'Orient, l'Egypte des pharaons et son rĂŽle historique, 1800-330 avant notre Ăšre, Ellipses, 2005. Sinon en plus fouillĂ© il y a le trĂšs bon L'Egypte et la vallĂ©e du Nil, tome 2 De la fin de l'Ancien Empire Ă  la fin du Nouvel Empire, Clio, L'Empire des Ramses, Flammarion, Champs, 1987. Il a prĂšs de 20 ans, mais c'est un livre de grande qualitĂ©. Citer Deshays Yves-MarieQuelques rĂ©fĂ©rences - Akhenaten and Nefertiti en anglais de Cyril ALDRED - Thames and Hudson, London 1973. TrĂšs belles NĂ©fertiti une reine de lĂ©gende, une biographie magistrale de Philipp VANDENBERG, Ă©ditions Pierre Belfond, format de poche un registre plus poĂ©tique NĂ©fertiti et le rĂȘve d'Akhnaton, les mĂ©moires d'un scribe, d'AndrĂ©e CHEDID Roman/Flammarion, 1974. Citer CaidLa famille du pharaon Ahmose I egalement connu comme Amosis I.Il crea la 18e dynastie aux environ de 1550 BC-1525 BC, apres avoir vaincu et chasse les I epousa Ahmose-Nefertari, qui etait egalement sa aura plusieurs enfants- Merytamun – l'ainee des enfants d'Ahmose-Nefertari, mourra jeune- Tair – fille de Satamun – 2e fille d'Ahmose-Nefertari, mourra jeune Ahmose-Sipair – l'aine des garcon avec Ahmose-Nefertari mourra enfant - Ahmose-Meritamon – 3e fille avec Ahmose-Nefertari deviendra reine Amenhotep I – 3e fils avec Ahmose-Nefertari , deviendra pharaon en succedant a son pereSatkames – 4e fille avec Ahmose-Nefertari mourra a l'age de 30ans Henttameh – fille de ThenthapiQuelques momies, consultables ici ... Epouse et soeur d'Ahmose I, NefertariCiter Son association Ă  certaines rĂ©alisations de son Ă©poux est trĂšs Ă©troite, elle fut la premiĂšre reine Ă  assumer la fonction sacerdotale de Divine Adoratrice d'Amon ; en tant qu' Ă©pouse du dieu », elle rĂ©organisa le culte, y gagnant en prestige au point de devenir une sainte patronne de la nĂ©cropole thĂ©baine, avec une barque qui Ă©tait sortie lors des processions liĂ©es aux grandes Leur fille Merytamun -Ouvrage de rĂ©fĂ©rence sur le Moyen Sargon d'AkkadConnaissez-vous un ouvrage qui prĂ©sente en dĂ©tail le moyen empire faits, pharaons, complexes funĂ©raires, statuaire ? Citer DeckSur les Pharaons, vous pouvez toujours vous reporter au Dictionnaire des Pharaons de Pascal Vernus et Jean Yoyotte, dont vous avez la rĂ©fĂ©rence dans la BibliothĂšque ! Citer EthelbertLe problĂšme de cette pĂ©riode est qu'il y a peu de sources archĂ©ologiques sauf pour les complexes funĂ©raires construits en dur, et donc peu d'ouvrages qui y sont relatifs. À dĂ©faut d'un ouvrage consacrĂ© Ă  la pĂ©riode, il faut aller farfouiller dans diffĂ©rents ouvrages, gĂ©nĂ©ralistes ou plus pointus - Egypte - Le Temps des pyramides, coll. Univers des Formes - Kemp Egypt, a social history - Kemp Egypt - Anatomy of a civilization - Grimal N., L'Egypte ancienne - Vandier, Manuel d'archĂ©ologie Ă©gyptienne, tome 2 Et j'en oublie plein, mais tu devrais trouver une liste beaucoup plus complĂšte dans la partie "BibliothĂšque" de ce forum. Si tu parles allemand, tu peux essayer de chercher des ouvrages de D. Wildung, qui est d'aprĂšs ce que m'en disaient mes profs de l'Ecole du Louvre le spĂ©cialiste mondial de cette pĂ©riode. Je ne sais pas si certains de ses ouvrages ont Ă©tĂ© traduits en français, en revanche. Citer SophranesDans l'excellente collection Nouvelle Clio du PUF il y a un De la fin de l'AE Ă  la fin du NE, de Vandersleyen. Mais je ne sais pas si ça correspond Ă  ce que tu recherches. C'est dense mais passionnant car problĂ©matisĂ© et gĂ©nĂ©ralement, il y a peu de choses sur l'archi dans cette collection. C'est pas trop histoire de l'art. Citer Sargon d'AkkadMerci, je vais dĂ©jĂ  me dĂ©brouiller avec tout ça. L'Ancien et le Moyen Empire sont les pĂ©riodes que je trouve les plus passionnantes dans l'histoire de Égypte car leur pĂ©riode est assez mal connue. Cela ne fait pas partie du sujet mais est-il vrai que la chambre funĂ©raire de la pyramide d'Amenemhat Ier n'a jamais Ă©tĂ© fouillĂ©e Ă  cause de la prĂ©sence d'eau dans la tombe ? Citer PascalDe Wildung "l'Age d'Or de l'Egypte" est la seule synthĂšse grand public Ă  ma connaissance qui porte exclusivement sur le Moyen Empire avec les deux premiĂšres PĂ©riodes IntermĂ©diaires. Bien qu'un peu ancien, le livre est illustrĂ© de nombreuses photographies N&B; et peut se trouver assez facilement en bibliothĂšque. RĂ©ponse Ă  Ethelbert l'ouvrage de Wildung que je mentionnais est entiĂšrement traduit. Il est Ă©ditĂ© chez l'Office du Livre. _________________Tous les dĂ©sespoirs sont permis DĂ©couvrez les 73 citations sur Civilisation, les meilleures citations civilisation, des phrases cĂ©lĂšbres ainsi que des citations de cĂ©lĂ©britĂ©s sur Civilisation. CIVILISATION Vous recherchez une citation sur le thĂšme de Civilisation ? A la mesure que les peuples montent en civilisation, les gouvernements descendent en police. , cette citation de Jules BARBEY D’AUREVILLY fait partie de notre sĂ©lection ainsi que L'admission des femmes Ă  l'Ă©galitĂ© parfaite serait la marque la plus sĂ»re de la civilisation, et elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain. de Stendhal, l'une des plus belles citations sur Civilisation. Voir les thĂšmes de citations Commençant par C. 73 citations sur Civilisation. DĂ©couvrez ci-dessous les meilleures citations civilisation, des phrases cĂ©lĂšbres ainsi que des citations de cĂ©lĂ©britĂ©s sur Civilisation. Ci-dessous 73 citations Civilisation Recherche de citations par thĂšmes Nous autres, civilisations contemporaines, nous savons maintenant que nous sommes mortelles », assurait Paul ValĂ©ry. Mais proche ou lointaine, dans le temps comme dans l’espace, mythique ou rĂ©elle, fantasmĂ©e ou créée de toutes piĂšces, chaque civilisation s’affranchit de cette mortalitĂ©, tant pour les historiens que pour les artistes, car elle est le creuset dans lequel est fondu l’imaginaire. Et le propre de l’imaginaire n’est-il pas d’ĂȘtre riche et multiple ? Dix-neuf auteurs vous invitent ici Ă  parcourir les chemins de civilisations perdues ou Ă  venir Lalex Andrea, Jean-Pierre Andrevon, Alberto Arrecchi, Pascal Bayle, Ugo Bellagamba, CĂ©line Ceron Gomez, Dounia Charaf, LoĂŻc Daverat, Renaud Ehrengardt, Estelle Faye, Ïan Larue, Morgane Marchand, Johanna Marines, BĂ©rangĂšre Monraisse, Morency, TimothĂ©e Rey, Chantal Robillard, Mara Sedan et Ketty Steward. Illustration de couverture par HĂ©lĂšne Marchetto. Puissiez-vous partager le plaisir de leur dĂ©couverte. Anthologie officielle du festival Nice Fictions 2018. Voir la gamme et acheter

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