Dissertation: Philo 101. Recherche parmi 274 000+ dissertations. Dans notre sociĂ©tĂ©, quel soit celle d’aujourd’hui ou du passĂ©, plusieurs choses pouvaient nous diffĂ©rencier, que ce soient nos origines, notre culture, nos habitudes de vie, l’endroit oĂč l’on vit tout simplement. Il y a cependant une seule chose qui ne change pas Voiciune sĂ©lection de sujets de philo corrigĂ©s sur La thĂ©orie et l'expĂ©rience. Si vous ne trouvez pas votre sujet sur cette page, vous pouvez utiliser notre moteur de recherche de corrigĂ©s de philo. Afin de vous aider dans votre travail, nous vous conseillons de consulter le cours sur La thĂ©orie et l'expĂ©rience en philosophie. Rubrique Aide aux dissertations > Aides rĂ©flexion: Philo corrige 1 Philo corrige 2 Philo corrige 3. Peut-on ne pas croire au progrĂšs? Le progrĂšs historique est-il un mythe ou une rĂ©alitĂ©? Le progrĂšs n'est qu' une façon de changer de malheur? Le progrĂšs de l'HumanitĂ© se rĂ©duit-il au progrĂšs technique ? Site Philagora, tous droits rĂ©servĂ©s _____ == Pour la recherche des idĂ©es NastassjaMartin en 7 dates 1986 Naissance Ă  Grenoble 2009 Premier terrain chez les Gwich’in en Alaska 2014 Premier terrain chez les ÉvĂšnes au Kamtchatka 2015 Rencontre Toutcompte fait, ĂȘtre heureux est donc finalement une affaire de choix qui ne s’oppose pas au devoir. Mais ce devoir ne doit pas ĂȘtre sous-tendu par une obligation aveugle, mais par une libre aspiration, sinon le mot « conduite humaine» perdrait tout son sens Ă©thique. On peut avoir le devoir d’ĂȘtre heureux Ă  condition de vouloir la Jene crois pas. Croire en Dieu , au sens le plus fort, revient prĂ©cisĂ©ment Ă  entretenir avec le mystĂšre de l’existence un rapport non rationnel, Ă  la fois dĂ©raisonnable et FayetBenjamin TS Pour le 31 / 01 / 2013 Dissertation de philosophie | La nature humaine, c’est-Ă -dire la logique des choses pourrait nous laisser penser que l'homme ne peut pas se passer de croire car les croyances, au sens de l’ensemble des connaissances qu’un homme peut acquĂ©rir, sont indispensables pour savoir quoique ce soit cependant, il apparait tout de suite un paradoxe. WeXu6. On doit mĂȘme peut-ĂȘtre ne pas se reposer entiĂšrement sur la raison dans l’action, dans la vie en gĂ©nĂ©ral, ainsi que dans la morale. Ne croit en rien ne veut pas dire forcement de donner son dĂ©saccord. Et sans doute l’autodidacte ressent-il un contentement d’autant plus grand qu’il peut avoir le sentiment de ne rien devoir Ă  personne. Peut 
 On peut croire en Dieu sans l'aimer, l'amour n'est pas le fort de tout le monde. En philosophie nous ne pouvons rien faire de plus que d’affirmer que l’esprit sent quelque chose qui distingue les idĂ©es du jugement des fictions de l’imagination. Le prĂ©jugĂ© est une forme de certitude illusoire. CorrigĂ© du sujet peut on ne croire en rien - Ma Philo .net - Aide personnalisĂ©e pour tous vos devoirs de philosophie, rĂ©ponse Ă  votre dissertation de philo en 1h chrono. Ne laissons pas les politiciens vĂ©reux, les cyniques et les irresponsables nous construire un monde que nous ne voulons pas. Peut on ne pas croire? => On peut croire Ă  des discours, on peut croire en une existence, ce qui permet de les distinguer. D'une part, il faut penser aux diverses formes de croyances, y compris les plus naturelles et habituelles qui nous permettent de vivre chaque jour. Changez de vie et changez de monde en partageant vos idĂ©es, il ne peut y avoir de dĂ©mocratie sans philosophie. On croit en Dieu parce qu'on a Ă©tĂ© conditionnĂ© Ă  croire en Dieu. L’art nous dĂ©tourne-t-il de la rĂ©alitĂ© ? Mais mĂȘme se taire peut vouloir dire quelque chose ex. Peut-on dire qu'une Ɠuvre d'art est supĂ©rieure Ă  une autre ? Par extension avoir confiance en quelqu'un, compter sur quelqu'un. Alors qu'en fait, ce que signifie celui qui dit ne pas croire en la Bible est "je SAIS que ce que dit la Bible est faux" car il s'agit effectivement lĂ  du rĂ©sultat d'un savoir scientifique sur l'Ă©volution des espĂšces et notamment des humanoĂŻdes, sur la formation de la Terre et du systĂšme solaire, etc. Dans sa dĂ©finition la plus gĂ©nĂ©rale, la notion de croyance est, au mĂȘme titre que celle de la foi, l'acte de tenir pour rĂ©el certaines propositions. Dans la croyance – et dans l’acte de croire, je tiens pour vrai une propositionnon prouvĂ©e, Ă  laquelle je donne une valeur de vĂ©ritĂ©. Sommes-nous libres lorsque rien, en nous ni hors de nous, n'oriente notre choix ? la minute de silence, un silence en dit long » . Toute parole Ă©chappĂ©e laisse Ă©chapper du sens. Pourtant, elle se dissimule aussi derriĂšre les propos les plus rationnels. La vĂ©ritĂ© "le faite de ne pas croire reviens a etre sur de tout ne pas douter". Mais mĂȘme se taire peut vouloir dire quelque chose ex. Toute parole Ă©chappĂ©e laisse Ă©chapper du sens. Par exemple, le racisme. Faut-il libĂ©rer ses dĂ©sirs ou se libĂ©rer de ses dĂ©sirs ? Il est donc impossible de ne croire en rien. On ne doute pas de la douleur. L’homme peut-il vivre sans croire ? Ne croire que ce que l’on voit », c’est ĂȘtre comme Saint Thomas ! De tous les sens, la vue est le plus prĂ©cieux, car elle semble nous donner directement accĂšs Ă  la rĂ©alitĂ© quand j'ouvre les yeux, le monde paraĂźt se donner tel qu'il est. De la mĂȘme façon, croire ne signifie pas non plus avoir des doutes, mais ĂȘtre incertain. Plan. Bonjour Ă  tous. Peut-on ne croire en rien ? => Rien signifie nulle chose. On ne peut ne rien dire qu’en se taisant. Je dirais non, car quand tu ne crois 
 17 mai 2012. Engagement 1. mettre en gage, donner en gage pacte,contrat, promesse, enrĂŽlement. ... En philosophie nous ne pouvons rien faire de plus que d’affirmer que l’esprit sent quelque chose qui distingue les idĂ©es du jugement des fictions de l’imagination. Votre sujet n'est pas dans la liste ? Vous pouvez mĂȘme spĂ©cifier le dĂ©lai sous lequel vous souhaitez recevoir votre correction. Caroline Sarroul Sujets sur la libertĂ©. plans de dissertations et corrigĂ©s de commentaires de textes philosophiques. Ici je ne donnerai qu'une Ă©bauche de rĂ©flexion. Croire en Dieu, c'est avant tout et par-dessus tout vouloir qu'il existe. Cela leur donne plus de force et d’influence, les fait apparaĂźtre de plus grande importance, et les constitue comme principes directeurs de 
 Peut-on combattre la croyance par le raisonnement ? dissertation en philo. nous ont montrĂ© le chemin. Soit l’on croit Ă  quelque chose, soit l’on ne croit pas. Croire Ă  en mourir, c’est le propre du fanatisme, et ne croire en rien, c’est du nihilisme du latin nihil = rien. S’il est possible de vouloir ne rien dire, il est impossible de ne rien dire du tout Ă  partir du moment oĂč l’on prend la parole. Les deux termes la foi et la croyance sont Ă  peu prĂšs synonymes. Un site de philosophie avec des corrigĂ©s, une frise interractive, un forum, des dĂ©bats, des travaux philosophiques plan La justice Peut-on se faire justice soi-mĂȘme ? Socrate avec son "Je sais que je ne sais rien", Montaigne avec son "Que sais-je ?" Notre Ă©quipe de professeurs de philosophie se propose de rĂ©aliser pour vous un vĂ©ritable corrigĂ© de " peut on ne croire en rien ". Peut-on justifier l’athĂ©isme ? Peut-on parler pour ne rien dire ? Introduction. Si un sujet exige qu’on dĂ©finisse ce qu’est la croyance, il faut rĂ©sister Ă  l’envie qu’on peut avoir de la rĂ©duire Ă  une seule de ses dimensions, car de tous les concepts qu’on peut croiser en philosophie, il est probable que ce soit un de ceux qui puisse, lĂ©gitimement, recevoir des dĂ©finitions diverses, dont certaines semblent ĂȘtre, entre elles, incompatibles. L'homme peut-il se passer de religion ? Aide Ă  la reflexion Je ne crois que ce que je vois. Peut-on affirmer que ne croire en rien est un progrĂšs pour l'Homme ? Pourquoi le progrĂšs n'a-t-il pas fait disparaĂźtre les religions ? PRÉSENTATION DE LA. Est-il raisonnable de croire en Dieu ? Trop croire en la toute puissance de la raison, en ce domaine, peut mĂȘme aboutir Ă  la pire des horreurs, au mal, Ă  l’immoralitĂ©. LibertĂ© ES Amiens 1982 La philosophie peut-elle dĂ©passer son temps ? Image et concept Aide Ă  la reflexion J'Ă©change donc j'existe niveau prĂ©pas Aide Ă  la reflexion Je crois que votre tort c'est de vous imaginer que vos raisons de vivre devraient tomber du ciel c'est a vous de les crĂ©er. Croire en une chose, c'est lui accorder adhĂ©sion intellectuelle et morale. Aide Ă  la reflexion A la lumiĂšre de ces observations, nous sommes en droit de nous demander peut-on ne pas croire au progrĂšs technique ? PHILOSOPHIE PLAN Etymologie Action et savoir par la sagesse on n'entend pas seulement la prudence dans les affaires, mais une parfaite connaissance de toutes les choses que l'homme peut savoir » “croire savoir ce qu'on ne sait pas, voici donc l'ignorance qui cause des maux, l'ignorance coupable " Alcibiade 118b. Croire en Dieu, c'est le possĂ©der ; 
 Le sujet porte sur une possibilitĂ©, ce qui peut s’entendre en deux sens diffĂ©rents une possibilitĂ© est en effet ou bien une capacitĂ© acquise par un processus, un travail – je peux acquĂ©rir la capacitĂ© de parler japonais -, ou bien une capacitĂ© objective, physique – il m’est impossible de voler dans les airs sans aide mĂ©canique, je ne peux pas en acquĂ©rir la possibilitĂ©. - De tout et de rien "Je ne crois que ce que je vois" peut-on en rester Ă  ce principe ? Tous les objets mĂ©taphysiques Ăąme, Dieu ne peuvent pas ĂȘtre vrais ou peut croire ou ne pas croire en Dieu mais on n'a pas dĂ©montrĂ© que Dieu existe ou qu'il n'existe pas. Croire que est de l’ordre de l’opinion. Enregistrer votre cafĂ© philo, annoncer vos activitĂ©s, Ă©changer vos rĂ©flexions, dĂ©velopper vos idĂ©es. Le gage, c’est soi, son existence, d’oĂč engager soi 2. prendre parti dans une idĂ©e de combat On peut ici penser Ă  [
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. La croyance Peut-on ne croire en rien ? Obtenez en moins de 72h - problĂ©matique entiĂšrement rĂ©digĂ©e - un plan dĂ©taillĂ© rĂ©digĂ© complet, avec parties et sous-parties - la possibilitĂ© de questionner le professeur sur le plan proposĂ© Prestation personnalisĂ©e rĂ©alisĂ©e par un professeur agrĂ©gĂ© de philo La foi remplace ainsi la raison quand elle parvient au bout de ses capacitĂ©s intellectives. L’on peut donc dire dis moi en qui ou en quoi crois-tu, et je te dirai qui tu es ». Croire est une faiblesse pour autant que la force est du cĂŽtĂ© de la rationalitĂ© qui implique la volontĂ© de penser par soi-mĂȘme et le dĂ©tachement vis-Ă -vis de la sensibilitĂ©. Votre sujet de philo sera traitĂ© selon les indications que vous fournirez. La croyance est l’absence de connaissance vĂ©ritable. Notre propos est de nous appuyer sur le dernier ouvrage d’Albert Piette afin de nous interroger sur le lien entre le croire », le doute et le ne pas croire ». Annales 2007 - Toute prise de conscience est-elle libĂ©ratrice ? ... Un bon plan 1. Philosophie ES Amiens 1982 Peut-on ĂȘtre esclav Par PubliĂ© le 28/10/2014 Ă  1630 La croyance est une notion difficile Ă  cerner. Elle fait partie de ce que Bertrand Russel appelait les attitudes propositionnelles, au mĂȘme titre que les dĂ©sirs, les souhaits, les regrets. Pour certains, elle est une force capable de dĂ©placer les montagnes. Pour d’autres, la bĂ©quille d’une humanitĂ© incapable de se tenir debout. Deux auteurs s’attaquent cet automne Ă  cette aventureuse question. Henri Atlan, d’une part, dans un livre Ă©blouissant intitulĂ© modestement Croyances 1. Alexandre Lacroix, d’autre part, dans un livre scrupuleux au titre plus Ă©nigmatique Comment vivre lorsqu’on ne croit en rien ? 2. Nous Ă©voquerons aujourd’hui celui-ci, et reviendrons prochainement sur le premier. Ce n’est pas un hasard si le dossier de la croyance remue les philosophes la croyance est humaine. Les animaux n’en savent pas assez, et les dieux en savent trop pour croire. Comme le remarquait Pascal, avec son humour tragique, le dĂ©sespĂ©rĂ© qui va se pendre croit encore Ă  l’amĂ©lioration de son Ă©tat. Et comme le pointait Husserl la thĂšse du monde est une croyance. Nous avons besoin de croire non pas au monde en gĂ©nĂ©ral, mais en notre monde, ce monde-ci. Cela est plus difficile dans Alep en ruines que sur les bords du lac de CĂŽme, mais cela ne change pas la donne sur le fond. Dans les deux cas, il faut se lever. Reste, que la thĂšse de Husserl se complique quand on se demande s’il est possible de croire en rien ? Avant d’aborder cette question qui est au cƓur du livre d’Alexandre Lacroix, il faut clarifier un point, concernant la croyance religieuse. Sans pour autant entrer dans des discussions Ă©pineuses sur la croyance et la foi. Dans un ouvrage datant de 2007, Peut-on ne pas croire ?, le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au CollĂšge de France Ă  Paris, esprit frappeur, commentateur hors pair, fin lecteur de Wittgenstein 1889-1951, dĂ©nonçait avec vigueur la dĂ©mission des intellectuels 3. Il critiquait leur pusillanimitĂ© envers la croyance religieuse et les religions. Il se rĂ©voltait contre les pĂšlerins et convertis de la derniĂšre heure. Il fustigeait la posture hĂ©roĂŻque des imprĂ©cateurs. Le thĂšme n’était pas nouveau, mais il rĂ©sonnait Ă  point nommĂ© dans le contexte actuel oĂč la laĂŻcitĂ© est malmenĂ©e et n’importe quelle forme de transcendance encensĂ©e. La libertĂ© de ne pas croire est devenue suspecte. L’incroyant n’a plus droit de citĂ©. Il n’est plus protĂ©gĂ© comme il devrait l’ĂȘtre, sa libertĂ© n’est plus assurĂ©e a priori ». Pourquoi le projet de juger et d'Ă©valuer les croyances d'un point de vue rationnel est-il devenu aujourd'hui Ă  ce point suspect ? Comment, aprĂšs Spinoza, Bayle, Condorcet, Renouvier, notre Ă©poque a-t-elle accouchĂ© de tels sortilĂšges ? Bouveresse rappelait alors qu’il serait possible, et mĂȘme nĂ©cessaire, de ne pas croire du tout penser, savoir, critiquer peut suffire Ă  la tĂąche. La croyance est certes une donnĂ©e humaine universelle, mais elle n’est pas pour autant universellement acceptable. Cette mise au point faite, on peut passer au rien. La rĂ©flexion morale et philosophique d’Alexandre Lacroix ne part pas du tout des mĂȘmes prĂ©supposĂ©s. Son livre n’est pas une attaque contre la pensĂ©e faible, le syncrĂ©tisme religieux, ni une mise en garde contre toutes les formes de crĂ©dulitĂ©. C’est un livre contre tous les chevaliers de l’absolu », les dogmatiques en herbe qui prĂ©tendent avoir rĂ©solu le problĂšme de la justification de l’existence. C’est un livre qui prend simplement le scepticisme au sĂ©rieux. Dans son acceptation la plus classique. Tout en distinguant attitude thĂ©orique et attitude pratique, il insiste plutĂŽt sur la seconde. Il rejette le dogmatisme, dans l’ordre de la connaissance ; il remet comme on dit la raison Ă  sa place. Il professe une sorte de vitalisme critique, rejette le souverain bien, se refuse d’assigner un but au bonheur, se laisse guider par la vie. S’appuyant sur des exemples littĂ©raires de choix – Nicolas Bouvier, Jean Genet -, il considĂšre le ballet des apparences comme la seule rĂ©alitĂ© tangible. Dans une langue souple et aĂ©rĂ©e, l’auteur cherche une voie. Mais il n’indique pas le chemin Ă  suivre. Reprenant Ă  son compte le questionnement ouvert par les stoĂŻciens et les sceptiques, il situe son propos en partant du constat de notre ignorance radicale », du caractĂšre insondable des moments qui composent notre existence. Ce sont les stoĂŻciens qui ont introduit la notion d’assentiment, elle est essentielle pour comprendre la croyance. Mais le mĂȘme mot de croyance sert Ă  dĂ©signer l’assentiment et ce sur quoi il porte. Dans la lignĂ©e de Sextus Empiricus, Lacroix prĂ©cise donc sa pensĂ©e au sujet de ce qui constitue le nerf des querelles antiques la suspension de l’assentiment chĂšre au stoĂŻcisme, reprise diffĂ©remment par Sextus Empiricus, dont la lecture fut dĂ©terminante dans sa trajectoire intellectuelle. Que dit-il ? Ceci La suspension de l’assentiment consiste en une mĂ©fiance Ă  l’égard des multiples discours sur le rĂ©el, envers les thĂ©ories, et non envers le rĂ©el lui-mĂȘme dans ses diverses manifestations ». Il est possible en effet de douter d’une thĂ©orie, mais il est peu probable de ne pas consentir aux bienfaits de la douceur du miel ou de la beautĂ© de la lumiĂšre mĂ©diterranĂ©enne. Cette croyance limitĂ©e – fille de notre impulsion – constitue la morale de cet ouvrage qui se refuse Ă  endosser la figure de l’éducateur. La critique que fait l’auteur de Foucault – au sujet des arts de l’existence – est sans concession. Non sans raison, il prend ses distances avec l’esthĂ©tique de l’existence et son volontarisme sous-jacent. On comprend mieux alors le point d’interrogation du titre. La question comment vivre n’étant pas vraiment une question, il convient – en gros – de prendre les choses comme elles viennent Ă  Paris, Kiev, Alep, Dakar ? C’est une autre histoire. Celle que raconte Alexandre Lacroix a en tout cas de la tenue. 1 Editions Autrement. 18 euros. 2 Flammarion, 170 pages, 17 euros. 3 Jacques Bouveresse, Peut-on ne pas croire ?Sur la vĂ©ritĂ©, la croyance et la foi, Agone, 2007, 286 pages, 24 euros. Plus d'Agora Votre abonnement nous engage En vous abonnant, vous soutenez le projet de la rĂ©daction de Marianne un journalisme libre, ni partisan, ni pactisant, toujours engagĂ© ; un journalisme Ă  la fois critique et force de proposition. Natacha Polony, directrice de la rĂ©daction de Marianne Bonjour Ă  tous. J'ai besoin de votre aide.. J'ai une dissertation de philo Ă  faire. Il faut faire thĂšse-anti thĂšse mais je ne trouve pas d'arguments pour "Oui on ne peut croire en rien". Help please = On peut vivre au jour le jour et ne pas s'interroger sur le sens des choses, du sens de la vie, simplement vivre en fonction de comment la vie se prĂ©sente Ă  nous. Autrement, grĂące Ă  la science, il devient possible de ne plus croire, on peut se limiter Ă  savoir, douter, et faire des hypothĂšses. Renseignes toi sur le nihilisme Oui, possible. Ça s'appelle du nihilisme, comme l'a dit VinceOn. Mais le nihilisme n'est-il pas une croyance en quelque sorte, justement? Et bien, si on considĂšre que ne croire en rien est une croyance ... Mais le nihilisme ce n'est ABSOLUMENT PAS ne croire en rien, au contraire c'est se persuader que tout est faux. On peut ne croire en rien, sans ĂȘtre nihiliste. Croire en rien, ça revient Ă  douter de tout. Et si l'on doute, on voudra ĂȘtre certain ĂȘtre persuader de quelque chose par des preuves concrĂštes, c'est diffĂ©rent de croire. Et pour ĂȘtre certain, on sera forcement amenĂ© Ă  une rĂ©flexion pour expliquer ce doute et le faire disparaitre, jusqu'Ă  ce qu'il n'y est plus de place pour celui-ci. Ainsi, "ne croire en rien" pousserait Ă  la rĂ©flexion de toute chose jusqu'Ă  en dĂ©terminer la cause la plus profonde. Mais pourquoi donc faire thĂšse anti-thĂšse? La philo ne consiste pas Ă  faire des raisonnements de skyzo D'ailleurs c'est trĂšs mal perçu par les prof au bac de dire une chose puis son contraire et faire le petit mixte des deux en troisiĂšme partie [GentleGiant] Voir le profil de [GentleGiant] PostĂ© le 12 novembre 2011 Ă  164217 Avertir un administrateur Mais pourquoi donc faire thĂšse anti-thĂšse? La philo ne consiste pas Ă  faire des raisonnements de skyzo D'ailleurs c'est trĂšs mal perçu par les prof au bac de dire une chose puis son contraire et faire le petit mixte des deux en troisiĂšme partie Mais la sociĂ©tĂ© est schyzo, nan ? Certains croient en rien alors que d'autres trouvent cela absurde. Le but n'est-il pas d'expliquer les raisons des deux parties pour laisser au lecteur le choix de son opinion ? Par le terme "croire" il faut peut-ĂȘtre sous-entendre "foi en qqch" ? Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire Ă  quelque chose! "Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire Ă  quelque chose!" Et non ! LĂ , c'est toi qui crois que je crois en ce qu'un nihiliste aurait dit. Je suis nihiliste, je ne crois en rien, mais je ne vois pas en quoi je crois en ce que j'ai dit. Je pense que rien n'existe, mais je ne le crois pas, par nihilisme, justement. Un nihiliste n'est pas du genre Ă  avoir foi en ses pensĂ©es. C'est lĂ  toute la diffĂ©rence. Les gens croient que le nihiliste n'exclut pas ses propres pensĂ©es de la non-croyance. Ce n'est pas le cas. Le nihiliste ne croit en rien, y compris le fait que rien n'existe. C'est une opinion personnelle, rien de plus. Et avant de contredire ça, il faudrait ĂȘtre nihiliste, l'avoir Ă©tĂ©, ou avoir discutĂ© avec un ou des nihilistes sans avoir portĂ© de jugement a priori, juste au cas oĂč. Oui c'est tout Ă  fait possible et j'en ai la preuve Les trolls sont partout... OMG... -_- Le 16 novembre 2011 Ă  081946 Yagaku a Ă©crit "Pardon, en disant que tu ne crois en rien, tu crois en ce que tu viens de dire, donc tu finis toujours par croire Ă  quelque chose!" Et non ! LĂ , c'est toi qui crois que je crois en ce qu'un nihiliste aurait dit. Je suis nihiliste, je ne crois en rien, mais je ne vois pas en quoi je crois en ce que j'ai dit. Je pense que rien n'existe, mais je ne le crois pas, par nihilisme, justement. Un nihiliste n'est pas du genre Ă  avoir foi en ses pensĂ©es. C'est lĂ  toute la diffĂ©rence. Les gens croient que le nihiliste n'exclut pas ses propres pensĂ©es de la non-croyance. Ce n'est pas le cas. Le nihiliste ne croit en rien, y compris le fait que rien n'existe. C'est une opinion personnelle, rien de plus. Et avant de contredire ça, il faudrait ĂȘtre nihiliste, l'avoir Ă©tĂ©, ou avoir discutĂ© avec un ou des nihilistes sans avoir portĂ© de jugement a priori, juste au cas croire en rien, c’est un Ă©tat de doute permanent. Or celui qui doute en affirmant qu’il n’y a pas de certitude se contredit, car s’il y a bien une chose qui existe c’est le doute. Il y a toujours des postulats de base auxquels on est obligĂ©s de croire. Encore que les plus sceptiques et les moins prudents prĂ©fĂ©rerons encore tenter l'expĂ©rience pour en juger. Exemple Il est impossible de ne pas croire Ă  la nĂ©cessitĂ© de se nourrir pour survivre. Ou bien il est impossible de ne pas croire en l'existence de son environnement sans y laisser sa supposant mĂȘme que les plus tĂ©mĂ©raires tentent l'expĂ©rience, des millĂ©naires de sĂ©lection naturelle n'auront-elles pas rendu mĂȘme ces hommes les plus fous incapables de se maintenir volontairement dans les douleurs qui prĂ©cĂšdent la rĂ©ponse. Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? Votre sujet n'est pas dans la liste ? Obtenez en moins de 72h - problĂ©matique entiĂšrement rĂ©digĂ©e - un plan dĂ©taillĂ© rĂ©digĂ© complet, avec parties et sous-parties - la possibilitĂ© de questionner le professeur sur le plan proposĂ© Prestation personnalisĂ©e rĂ©alisĂ©e par un professeur agrĂ©gĂ© de philo Afficher uniquement les sujets de dissertation Afficher uniquement les commentaires de texte philosophique Afficher tous les sujets corrigĂ©s Annales du BacTerminale S Liste des sujets traitĂ©s Annales 2017 - Peut-on se libĂ©rer de sa culture ? Annales 2017 - DĂ©fendre ses droits, est-ce dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts ? Annales 2009 - Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne rĂ©pond ? Annales 2009 - Est-il absurde de dĂ©sirer l’impossible ? Annales 2008 - Y a-t-il d’autres moyens que la dĂ©monstration pour Ă©tablir une vĂ©ritĂ© ? Annales 2008 - L’art transforme-t-il notre conscience du rĂ©el ? Annales 2007 - Que vaut l’opposition du travail manuel et du travail intellectuel ? 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La relation entre philosophie et religion dans la modernitĂ© Est-ce parce qu’ils sont ignorants que les hommes ont des croyances ? Une critique philosophique de la religion Commentaires disponibles Le langage Liste des sujets traitĂ©s Peut-on parler pour ne rien dire ? En quoi le langage est-il nĂ©cessaire Ă  l’homme ? Les paroles engagent-elles autant que les actes ? Serait-il souhaitable que l’humanitĂ© parle une seule langue ? Quiconque n’a pas rĂ©flĂ©chi sur le langage n’a pas vraiment commencĂ© Ă  philosopher Le langage exprime-t-il notre ĂȘtre ? Commentaires disponibles Le travail et la technique Liste des sujets traitĂ©s L’homme doit-il travailler pour ĂȘtre humain ? Le travail rend-il l’homme heureux ? Faut-il sĂ©parer la science de la technique ? Le travail et la technique sont ils des moyens de civilisations ou de barbarie ? L'art nous est-il plus nĂ©cessaire que la technique ? Qu'est ce qu'un travail social juste ? Comment faire de la prĂ©vention sans rĂ©pression ? L'art Liste des sujets traitĂ©s L’art nous dĂ©tourne-t-il de la rĂ©alitĂ© ? L’art ne sert-il Ă  rien ? L’art ne s’adresse-t-il qu’à la sensibilitĂ© ? Quelle est la raison d’ĂȘtre des artistes ? L’art est-il explicable ? L’art nous dĂ©tourne-t-il du rĂ©el ? Pour avoir du goĂ»t, faut-il ĂȘtre cultivĂ© ? L’art est-il une illusion ? L’art, est-ce ce qui ne sert Ă  rien ? Pensez-vous que la sociĂ©tĂ© moderne favorise la crĂ©ation artistique ? Quelles sont les rĂšgles de l’art ? L'art nous est-il plus nĂ©cessaire que la technique ? N'y a t il d'art que dans les musĂ©es ? L'art est il une Ă©vasion ? Commentaires disponibles L'histoire Liste des sujets traitĂ©s Y a-t-il une vĂ©ritĂ© en histoire ? L’histoire nous enseigne-t-elle la relativitĂ© de valeurs ? L’histoire a-t-elle un sens ? L’homme peut-il se libĂ©rer de l’histoire ? Que nous apprend l’histoire ? Qu'est ce qu'un Ă©vĂ©nement ? Le plaisir est il le moteur de l'histoire ? Devons-nous mĂ©moire ou oubli ? Commentaires disponibles La moraleLa libertĂ© Liste des sujets traitĂ©s Faut-il opposer libertĂ© morale et libertĂ© politique ? Peut-on renoncer Ă  sa libertĂ© ? Peut-on apprendre Ă  ĂȘtre libre ? Peut-on concilier les exigences de la justice et celles de la libertĂ© ? L’expression perdre sa libertĂ© a-t-elle un sens ? En quoi peut-on dire que l’homme est libre ? Être libre de penser est-ce penser ce que l’on veut ? Le doute est-il une entrave Ă  la libertĂ© ? Jean-Paul Sartre, L'Etre et le nĂ©ant, troisiĂšme partie, chapitre premier, section IV le Regard Comment dĂ©finir la libertĂ© ? Commentaires disponibles Le devoir Liste des sujets traitĂ©s La conscience morale n’est-elle que le rĂ©sultat de l’éducation ? La dĂ©termination du bien n’est-elle qu’une affaire d’opinion ? Peut-on connaĂźtre la morale ? Est-il immoral de mĂ©priser autrui ? Suffit-il de voir le meilleur pour le suivre ? Puis-je savoir si je suis immoral ? Qui est autorisĂ© Ă  me dire tu dois ? Devons-nous mĂ©moire ou oubli ? Commentaires disponibles Le bonheur Liste des sujets traitĂ©s Plaisir et bonheur Faites vous plaisir ! Le bonheur n’est-il qu’une question de chance ? Le bonheur n’est-il pour l’homme qu’un idĂ©al ? La conscience de soi peut-elle rendre l’homme malheureux ? Annales 2017 - Pour trouver le bonheur, faut-il le rechercher ? Commentaires disponibles La politiqueL'Etat Liste des sujets traitĂ©s L’État peut-il ĂȘtre juste ? Sur quoi la lĂ©gitimitĂ© de l’État se fonde-t-elle ? L’État vise-t-il le bonheur des individus ? Peut-on concevoir une sociĂ©tĂ© sans État ? L’Etat doit-il reconnaitre des limites Ă  sa puissance ? e rĂŽle du gouvernement est-il seulement de garantir la libertĂ© ? Le pouvoir doit-il revenir au peuple ? Commentaires disponibles La justice et le droit Liste des sujets traitĂ©s La compĂ©tence donne-t-elle des droits ? Les lois prennent-elles en compte les croyances des individus ? Fonder le droit sur la force ou faire respecter le droit par la force, cela revient-il au mĂȘme ? Le droit se fonde-t-il sur l’intĂ©rĂȘt privĂ© ? Est-il juste d’appliquer systĂ©matiquement la loi ? Peut-on concilier les exigences de la justice et celles de la libertĂ© ? Sur quoi la justice se fonde-t-elle ? La dĂ©mocratie est-elle la garantie de lois justes ? Peut-on dire d’un homme qu’il est juste ? Qu'est ce qu'un travail social juste ? Comment faire de la prĂ©vention sans rĂ©pression ? Vaut-il mieux subir l’injustice ou la commettre ? Les peines qu'inflige une sociĂ©tĂ© servent-elles une simple vengeance ? Hugo Grotius, De jure belli ac pacis Commentaires disponibles La sociĂ©tĂ© Liste des sujets traitĂ©s La paix sociale est-elle souhaitable ? Une sociĂ©tĂ© n’est-elle qu’un ensemble d’individus vivant sur un mĂȘme territoire ? Doit-on apprendre Ă  devenir homme ? L’homme est-il un animal politique ? Une sociĂ©tĂ© peut-elle renier sa culture ? L’action politique est-elle un travail ? L’homme est-il rĂ©ductible Ă  sa culture ? Qui est autorisĂ© Ă  me dire tu dois ? 'La ville est politique' - commentaire La mĂ©diation est-elle particuliĂšrement importante dans notre sociĂ©tĂ© contemporaine ? Y a-t-il des sociĂ©tĂ©s plus naturelles que d’autres ? Hugo Grotius, De jure belli ac pacis Le pouvoir doit-il revenir au peuple ? Commentaires disponibles La raison et le rĂ©elLa matiĂšre et l'esprit Liste des sujets traitĂ©s Est-il raisonnable de croire en Dieu ? Peut-on croire sans savoir ? Faut-il opposer la croyance et la raison ? Peut-on accorder une valeur Ă  une croyance que l’on ne partage pas ? L’esprit a-t-il accĂšs aux choses ? Vaut-il mieux agir ou penser ? Quelle diffĂ©rence peut-on faire entre la matiĂšre et le corps ? Toute passion est-elle dĂ©raisonnable ? Que faut-il opposer Ă  la bĂȘtise ? Qu’est-ce qui est premier ? Le Dieu de Kant est-il si diffĂ©rent du Dieu de la mĂ©taphysique traditionnelle ? Peut-on connaĂźtre l'esprit Ă  travers le corps ? En quoi l’homme fait-il l’espace ? Descartes, MĂ©ditations mĂ©taphysiques, sixiĂšme mĂ©ditation Commentaires disponibles La vĂ©ritĂ© Liste des sujets traitĂ©s Ce qui est flagrant est-il vrai ? Les prĂ©jugĂ©s dĂ©tournent-ils toujours du vrai ? Peut-on se dĂ©livrer de ses prĂ©jugĂ©s ? Comment passe-t-on de l’opinion Ă  la connaissance ? Peut-on vraiment ĂȘtre convaincu sans ĂȘtre persuadĂ© ? Dans quelle mesure la mĂ©thode peut elle servir de garant de la vĂ©ritĂ© ? L’objectivitĂ© implique-t-elle la neutralitĂ© ? Suffit-il, pour ĂȘtre philosophe, de rejeter les opinions ? N’y a-t-il aucune vĂ©ritĂ© dans le mensonge ? Peut-on dire que les hommes aiment tellement la vĂ©ritĂ© qu’ils voudraient que ce qu’ils aiment soit vrai ? S’en tenir aux faits, est-ce une garantie d’objectivitĂ© ? Faut-il croire la raison ? La science rĂ©pond elle Ă  un dĂ©sir de la vĂ©ritĂ© ? Peut-on dĂ©montrer n'importe quoi ? L’opinion est-elle condamnable ? Qu’est-ce que la mĂ©taphysique ? Faut-il toujours se contredire ? Commentaires disponibles Le vivant Liste des sujets traitĂ©s La nature a-t-elle des droits ? La nature fait-elle bien les choses ? Peut-on Ă©viter l’anthropomorphisme ? Ce qui est naturel a-t-il nĂ©cessairement de la valeur ? L'interprĂ©tation Liste des sujets traitĂ©s L’interprĂ©tation est-elle nĂ©cessaire Ă  l’homme ? Nietzsche - Il n'y a pas de faits en soi. Ce qui arrive est un groupe de phĂ©nomĂšnes choisis et groupĂ©s par un ĂȘtre qui les interprĂšte ThĂ©orie et expĂ©rience Liste des sujets traitĂ©s Peut-on penser contre l’expĂ©rience ? La science nous apprend-elle ce qu’est le rĂ©el ? Devons-nous distinguer deux mondes le monde commun et le monde de la science ? L’homme a-t-il raison de se mĂ©fier de la science ? La science fait-elle disparaĂźtre les croyances ? La philosophie, est-ce des paroles en l’air ? À quoi sert la philosophie ? La philosophie peut-elle ĂȘtre utile ? Qu’est-ce qui est premier ? Commentaires disponibles Le sujetAutrui Liste des sujets traitĂ©s Peut-on se fier Ă  l’autoritĂ© d’autrui sans tomber dans le prĂ©jugĂ© ? Changer, est-ce devenir quelqu’un d’autre ? Dois-je tenir compte de ce que font les autres pour orienter ma conduite ? Autrui est-il mon prochain ? L’homme est-il naturellement bienveillant Ă  l’égard d’autrui ? Une action dĂ©sintĂ©ressĂ©e est-elle possible ? Qui est autorisĂ© Ă  me dire tu dois ? Le corps soutient-il la relation Ă  autrui ? Sans l'autre, je ne suis rien, je n'existe pas, autrui me constitue comme il peut me dĂ©truire Jean-Paul Sartre, L'Etre et le nĂ©ant, troisiĂšme partie, chapitre premier, section IV le Regard Commentaires disponibles La conscience et l'inconscient Liste des sujets traitĂ©s La conscience fait-elle de l’homme une exception ? Que peut-on reprocher Ă  celui qui est inconscient ? Avons-nous conscience de notre corps ? La conscience de soi est-elle une connaissance de soi ? La conscience est elle ce qui dĂ©finit l’homme ? L’idĂ©e d’inconscient exclut-elle celle de libertĂ© ? Un sentiment est-il plus difficile Ă  dĂ©crire qu'un objet ? Le corps est-il sujet ou objet de ma conscience ? Dans quelle mesure peut-on parler d’une rĂ©volution freudienne ? La conscience de soi peut-elle rendre l’homme malheureux ? L'hypothĂšse de l'inconscient fait-elle mieux comprendre la conscience ? La conscience peut-elle nous tromper ? Jean-Paul Sartre, L'Etre et le nĂ©ant, troisiĂšme partie, chapitre premier, section IV le Regard Commentaires disponibles La perception Liste des sujets traitĂ©s Les apparences sont-elles trompeuses ? Un sentiment est-il plus difficile Ă  dĂ©crire qu'un objet ? En quoi l’homme fait-il l’espace ? Commentaires disponibles Le dĂ©sir Liste des sujets traitĂ©s Pourquoi dĂ©sirer ce qui n’est pas nĂ©cessaire ? Le dĂ©sir suppose-t-il la connaissance prĂ©alable de son objet ? Est-on fondĂ© Ă  distinguer les bons des mauvais dĂ©sirs ? Faut-il libĂ©rer ses dĂ©sirs ou se libĂ©rer de ses dĂ©sirs ? Le dĂ©sir est-il la marque de la misĂšre de l’homme ? Supprimer le naturel, est-ce le but de l’éducation ? Peut-on concilier raison et dĂ©sir ? Nietzsche, Tout ce qu'on appelle amour Le dĂ©sir humain peut-il ĂȘtre satisfait ? Commentaires disponibles L'existence et le temps Liste des sujets traitĂ©s Exister, est-ce profiter de l’instant prĂ©sent ? Le temps est-il la limite de l’homme ? Dans quelle mesure la conscience intime du temps nous permet-elle d’assigner un sens Ă  notre existence ? L’homme doit-il se rĂ©signer Ă  mourir ? Que nous apprend la mort ? Exister, est-ce agir ? Quel sens la mort donne-t-elle Ă  notre vie ? Tout a-t-il une raison d'ĂȘtre ? Faut-il vivre comme si nous ne devions jamais mourir ? Commentaires disponibles Dans le sujet Peut-on ne pas savoir ce que l’on fait ? », la question porte sur les limites et diffĂ©rents degrĂ©s de la conscience humaine. SpontanĂ©ment, certains tels Descartes pensent toujours pouvoir ĂȘtre maĂźtres de leurs actes, avoir une conscience permanente. Or est ensuite apparue la thĂ©orie de l’inconscient formulĂ©e par Freud admettant que celui-ci constitue la partie la plus importante de l’esprit, contrĂŽlant ainsi la majeure partie de nos actes. Nous remarquons que les idĂ©es communes sont contradictoires, nous poussant donc Ă  rechercher les limites de conscience de nos agissements, jusqu’oĂč l’homme est conscient de ce qu’il fait. Nous sommes en effet surpris parfois par certains agissements, certaines rĂ©actions ou mĂȘme de leurs consĂ©quences. Nous ne savons donc pas toujours entiĂšrement ce que nous faisons ou pourquoi nous le faisons, ce qui nous amĂšne Ă  nous questionner sur la libertĂ© et la responsabilitĂ© face Ă  nos actes. I. SpontanĂ©ment on souhaite ĂȘtre conscient de tous nos faits Si on considĂšre les faits comme l’action en elle mĂȘme et seulement celle-ci, nous en sommes alors en effet conscient. On doit d’abord penser l’action avant de pouvoir la rĂ©aliser. Elle nĂ©cessite une volontĂ© qu’on considĂ©rera ici comme contrĂŽlĂ©e. Tout action est en effet prĂ©cĂ©dĂ©e d’un processus psychique contrĂŽlĂ© par les envies, les besoins, comme la faim par exemple. On pourrait croire qu’on ne pense plus avant certaines actions tel respirer, c’est en effet devenu un rĂ©flexe, un acquis, on ne pense pas Ă  respirer. Ils sont cela dit quand mĂȘme gouvernĂ©s par une trĂšs petite part de conscience qui fait partie des acquis. Un agissement nĂ©cessite la pleine attention de celui qui l’exĂ©cute. Mais on peut ĂȘtre conscient du fait mais pas de ses consĂ©quences, nous ne sommes pas toujours conscients de l’importance de nos faits. Un acte anodin peut en effet avoir de grandes consĂ©quences et on ne contrĂŽle pas tous les facteurs extĂ©rieurs. On est jamais complĂštement conscient de tous les paramĂštres extĂ©rieurs, soit on peut agir de façon efficace en essayant d’en contrĂŽler la majeure partie, de diminuer le risque, mais il reste toujours une infime part d’inconscience des consĂ©quences. Cela dit, on est conscient qu’on ne contrĂŽle pas tout, on sait donc que les consĂ©quences sont parfois imprĂ©visibles, on en est conscient. Il existe donc des diffĂ©rents degrĂ©s de conscience. Ces degrĂ©s varient aussi selon l’état physiologique du sujet. Le sommeil est un de ses Ă©tats intĂ©ressant Ă  Ă©tudier car notre part de conscience diminue au plus bas niveau, nous ne contrĂŽlons en effet pas ce que nous rĂȘvons, nous n’avons pas conscience de ce qui se passe autour de nous ou bien encore du temps qui passe pendant que nous dormons. Le coma reste aussi encore aujourd’hui assez inconnu, certains patients se rappellent de certaines conversations, de certains faits Ă  leur rĂ©veil, d’autres pas, le degrĂ© de conscience selon les individus et selon la pĂ©riode varie donc. Cela valide notre thĂ©orie, nous ne sommes pas conscient ou inconscient mais il existe rĂ©ellement diffĂ©rents degrĂ©s de conscience. MalgrĂ© tout certains dirons qu’ils ne savaient plus ce qu’ils faisaient aprĂšs une prise d’alcool par exemple, mais ils Ă©taient bel et bien conscient lorsqu’ils ont commencĂ© Ă  boire, ils savaient qu’ils pourraient ne plus se contrĂŽler ultĂ©rieurement. Ils en sont la aussi tout a fait conscient. A premiĂšre vue en considĂ©rant l’action comme le fait nous en sommes donc toujours conscients avec des degrĂ©s variant selon les situations car il nĂ©cessite une volontĂ©. On ne connaĂźt pas toutes les consĂ©quences avant d’agir mais on a conscience de prendre un risque. On sait donc ce que l’on fait. II. On est parfois surpris par certains de nos agissements ou rĂ©actions On entend souvent Je ne sais pas ce qui m’a pris, je ne savais plus ce que je faisais.» Il y aurait donc une part d’inconscient chez nous, dans ce qui motive certains de nos actes. Nous avons dĂ©montrĂ© prĂ©cĂ©demment qu’une action avait besoin de l’attention du sujet et de sa volontĂ© en admettant qu’elle Ă©tait contrĂŽlĂ©e. Mais si nous supposons que nous ne sommes pas Ă  l’origine de toutes nos volontĂ©s, le contrĂŽle de nos actes est remis en cause. Il existe une grande multitude de cause et motivations possibles Ă  nos actes. L’intuition en fait partie, elle n’a pas de raisons rationnelles et nous ne connaissons pas la suite, l’aboutissement si on suit cette intuition. On pourrait donc croire que l’on ne sait pas ce que l’on fait mais en rĂ©alitĂ© nous sommes bel et bien conscients que cette intuition n’a pas de cause rationnelle, nous sommes donc conscients du risque, nous savons ce que nous faisons. Et si certaines actions n’avaient justement pas de motifs. Lafcadio a essayĂ© de prouver cela en commettant un crime qui pour lui n’avait aucun mobile. Mais cette thĂ©orie est facilement critiquable, le fait de ne pas avoir de mobile peut aussi ĂȘtre un mobile en soit pour cet acte. Mais en continuant dans cette voie, on peut admettre qu’il existe toujours une motivation pour nos actes mais elle pourrait ne pas ĂȘtre contrĂŽlĂ©e. Comme la thĂ©orie de l’inconscient de Freud l’a Ă©noncĂ© la majeure partie de nos actes seraient alors dictĂ©s par l’inconscient. Une grande partie de nous mĂȘme nous Ă©chappe donc dĂ©sirs refoulĂ©s, lapsus, actes manquĂ©s, rĂȘves. L’inconscient regrouperait donc tous les dĂ©sirs que nous ne pouvons formuler car allant Ă  l’encontre des mƓurs. Les pulsions ne peuvent en effet ĂȘtre Ă©vitĂ©es, elles sont soit concrĂ©tisĂ©es dans le rĂ©el par le biais des rĂȘves, qui constitueront donc un trĂšs bon moyen d’études de l’inconscient, ou bien refoulĂ©es. Les lapsus ou les actes manquĂ©s seraient donc pour l’inconscient des moyens d’expression. Le fait d’envoyer par exemple une lettre au mauvais destinataire ne serait pas le fruit du hasard ou d’une Ă©tourderie. On croit Ă©chouer en l’effectuant mais on Ă©prouve en rĂ©alitĂ© une satisfaction de nos pulsions inconscientes. Pour Ă©tudier l’inconscient, l’étude des rĂȘves est idĂ©ale, ils seraient en effet une illustration des dĂ©sirs que l’on censure dans le rĂ©el. En admettant cette thĂ©orie que notre inconscient occupe la plus grande partie de notre esprit et que nos pulsions refoulĂ©es sont Ă  l’origine de certains de nos actes. Alors nous serions tenter de croire que nous ne nous contrĂŽlons pas toujours, il existerait donc des situations ou ne nous savons pas ce que nous faisons. III. Sommes nous donc libres ou responsables devant nos actes ? On peut se poser en effet la question de la libertĂ© face Ă  nos actes si on admet que nous sommes en partie contrĂŽlĂ©es par notre inconscient. On exclut l’idĂ©e de libertĂ© si l’homme est contrĂŽlĂ©e par quelque chose dont il ne s’aperçoit pas consciemment, qui le dĂ©passe. Si nous ne sommes pas libres devant ses actes, nous ne pouvons pas admettre ĂȘtre responsable de ces actes puisque nous ne les contrĂŽlons pas. Face Ă  certains Ă©vĂšnements, nos rĂ©actions sont contrĂŽlĂ©es par notre inconscient dĂ©sirs et pulsions refoulĂ©s et nous n’en avons pas conscience. Si on refoule ses pulsions cela peut ĂȘtre la cause de nĂ©vrose et si elles deviennent irrĂ©sistibles, on passe Ă  l’acte tout cela restant inconscient. La responsabilitĂ© du sujet est donc discutable puisqu’il n’est pas libre face Ă  cette pulsion. La thĂ©orie de Freud implique donc que l’individu ne soit pas responsable puisqu’il est gouvernĂ© par son inconscient et n’a pas agit de maniĂšre rĂ©flĂ©chie. Mais si ma conscience possĂšde des degrĂ©s alors ma responsabilitĂ© aussi. On n’est soit pleinement responsable ou irresponsable dans la loi et pourtant on peut ĂȘtre conscient de ce qu’on est en train de faire et ne pas pouvoir le contrĂŽler. L’inconscience n’admet donc pas forcĂ©ment l’irresponsabilitĂ©. La thĂ©orie de l’inconscient n’est qu’une hypothĂšse, on ne peut pas la prouver et donc tout comme Sartre on peut penser qu’elle n’est que l’illustration de la mauvaise foi des hommes. Puisqu’on ne peut pas prouver que ce n’était pas notre inconscient qui nous guidait, tout le monde peut se rĂ©fugier dans cette thĂ©orie et pardonner les pires actes. N’est on pas en effet responsable de notre niveau de conscience ? L’homme a des dĂ©sirs et des pulsions mais il est aussi contrairement aux animaux douĂ© de raison. Admettre la thĂ©orie de l’inconscient c’est la facilitĂ© de renier sa libertĂ© et donc sa responsabilitĂ©. Conclusion En conclusion on peut dire que on peut ne pas comprendre les motivations qui nous poussent Ă  exĂ©cuter certaines actions. Mais la conscience est Ă©troitement liĂ©e Ă  la responsabilitĂ© et dire qu’on peut ne pas savoir ce que l’on fait, c’est renier sa libertĂ©. Il existe en effet des diffĂ©rents degrĂ©s de conscience mais dans tout les cas il en reste toujours une part infime, on peut donc toujours essayer de faire part de raison.

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